Eh oui, il a raison !
Le plus difficile aussi.
Sujet grand comme un bateau sur l'Océan,
avec toi dedans.
Ta peur aussi de cultiver l'authentique,
au quotidien de le vivre.
Tout ça,
parce qu'au-delà des mots
tu restes une interrogation :
impossible de savoir,
aujourd'hui
demain
jamais le même,
tu ne t'appartiens pas.
Comme un mal à la vie,
son imperfection,
la notre.
En l'occurrence
au quotidien
tu restes cette image qu'on bouscule :
vaccin au hasard
blessure trop profonde
cicatrisation impossible.
Si tu peux encore t'échapper
sois content,
c'est le degré zéro du bonheur.
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